Le conflit entre personnes divorcées subit une escalade au moment où la justice est saisie par un des époux. En plus, la dispute dure souvent longtemps. C’est pourquoi le juge Jürgen du tribunal de Cochem accorde l’urgence aux conflits dans lesquels des enfants sont concernés. Une audience est convoquée dans un délai de deux à trois semaines. Partout ailleurs, il faut attendre au minimum une demi-année.
(Frankfurter Allgemeine Zeitung du 23 décembre 2004, N° 300 / Page 101)
Bravo, ”Radio Centre Ville” 102.3 FM, et”Mouvement Action Justice” pour votre émission, qui, j’espère, ouvrira les yeux à votre public ! Car ça n’arrive pas qu’aux autres…
Dommage que la communication téléphonique n’était pas à 5/5… car je n’ai pas toujours bien compris les questions de manières claires.
Bravo aussi à Ernest, autre correspondant sur la Radio, à qui j’adresse mes compliments…
Mais l’émission a souvent été arrêtée, suspendue… (trop d’écoute?) pour reprendre le cours de l’émission, il faut donc ”rafraîchir” la page (clic droit sur le bureau) et reporter le témoin sur l’endroit précédent d’écoute.
Dommage, que ces gens ne se sont pas présentés à l’ANCQ., je fais sans cesse dans entrevues non seulement sur le sort des enfants mais des papas aussi. Pro-Bono, lorsqu’il s’agit de défendre les pères, je n’y crois pas. Le Modèle Cochem, Le barreau ne laissera pas passer ça!!!! sans y mettre ses couleurs, donc modifieront le “modèle”.
C’est un ”Code de la Famille” qu’il faut créer, de toute urgence, avec toutes les matières de séparations et de divorces, et avec le ”Modèle de Cochem” traduit en lois.
C’est possible ! Il suffit de le vouloir !